L’Immobilier, une solution pour la retraite… Dès maintenant
La retraite… Voilà ce mot devenu le centre d’une actualité tumultueuse. La retraite plus on est jeune et moins on y pense. Mais en ce moment et quel que soit notre âge, impossible de l’oublier. Ce temps viendra et il faut être réaliste, son financement est loin d’être garanti. Sa retraite, il vaut mieux de toute façon la préparer et pour cela, l’Immobilier a de nombreux atouts.
Répartition et capitalisation
Fondé sur la répartition, le système de retraite français joue sur la solidarité entre les générations. Et à l’heure où nous vivons de plus en plus longtemps et où les déséquilibre entre actifs et inactifs s’accentuent, il faut bien en admettre les points faibles. Est-ce à dire qu’il faudrait le remplacer par la capitalisation ? Y penser seulement semble un sacrilège. Ce qui n’empêche pas les français d’être toujours plus nombreux à mettre leur argent dans l’immobilier ou à souhaiter le faire. Et ça, c’est justement de la capitalisation !
La Pierre, valeur refuge
C’est une vérité bien ancrée dans l’inconscient collectif : la Pierre est une valeur sûre. N’en déplaise à un Président de la République qui la considère plutôt comme improductive, elle n’est pas volatile comme peuvent l’être les placements financiers. La Pierre et donc l’acquisition immobilière rime avec sécurité et pérennité. Deux facteurs particulièrement important à l’heure de cette fameuse retraite.
La résidence principale
C’est la première des acquisitions, parfois l’achat d’une vie, qui peut induire des sacrifices et à tout le moins impose les responsabilités inhérentes à l’emprunt.
Mais à l’âge de la retraite, outre qu’elle lève le poids d’un loyer ou annonce la fin d’un long crédit, elle représente aussi un capital offrant la liberté de regarder l’avenir plus sereinement. Acquérir sa résidence principale, c’est loger la famille au présent tout en préparant l’avenir.
Revenus complémentaires ou capital en devenir
Si l’acquisition d’une résidence principale est un trop grand défi à relever (trop cher, trop tard, trop compliqué), d’autres alternatives existent.
La résidence secondaire : elle est souvent perçue côté loisirs ou vacances ou encore comme l’apanage des foyers très aisés. Pourtant, et surtout si elle est située dans des zones attractives, elle peut aujourd’hui être source de revenus complémentaires grâce aux opportunités offertes par la location saisonnière. Et devient souvent la résidence principale à l’heure de la retraite, fenêtre ouverte sur une autre vie, délestée de son éventuel emprunt.
L’investissement locatif
Dédaigné ces dernières années, l’investissement locatif fait un retour en force, représentant aujourd’hui près de 30% des transactions immobilières hexagonales. Investir en locatif c’est voir sur le long terme. Le plus souvent acquise grâce à l’emprunt mais par ailleurs financée (au moins pour partie) par les revenus de sa location, cette acquisition constitue un capital en devenir dont il sera possible de disposer la retraite venue (par sa revente) ou qui présentera une source de revenus complémentaires bienvenus. Sans oublier que les dispositifs existants (Pinel pour l’Immobilier Neuf et Denormandie pour l’Immobilier ancien) offrent l’opportunité d’avantages fiscaux. Le tout étant de sélectionner avec soin le ou les biens à acquérir.
L’Immobilier nécessite bien sûr de pouvoir un tant soit peu anticiper l’avenir, ne serait-ce que pour assumer les mensualités d’un crédit. D’ailleurs avec l’Immobilier, et au-delà de la joie bien légitime que l’on ressent à être « chez soi », c’est bien sur le long terme qu’il faut miser. Peu risqué, sous réserve d’être bien choisi, l’Immobilier offre plusieurs et solides solutions pour envisager la retraite comme une vraie seconde vie.
Les jeunes l’ont bien compris, n’hésitant pas à se lancer dans l’acquisition immobilière le plus tôt possible. Et il est vrai que les conditions actuelles d’emprunt facilitent grandement les choses !